On a demandé à nos pharmacien·nes ce qu’ils referaient différemment s’ils étaient encore étudiants.
Michael Omari, aujourd’hui pharmacien-propriétaire affilié à Proxim, se souvient bien de ses années d’études. « J’avais un propriétaire très conciliant qui respectait ma charge de travail. Je travaillais davantage pendant les périodes plus calmes, et il m’accordait des congés pendant les examens. »
Avec le recul, Michael admet qu’il aurait aimé être un peu plus discipliné :
« J’étudierais plus au fur et à mesure, pour éviter les nuits blanches avant les examens. Et je choisirais mieux mes moments pour décrocher. »
Sa meilleure astuce pour tenir le cap ?
Trouver du plaisir dans ce qu’on fait, à la fois en classe et derrière le comptoir.
« Quand tu vois que ce que tu apprends sert vraiment aux patients, ça change tout. Tu donnes du sens à tes études. Et quand tu sais pourquoi tu le fais, c’est là que la motivation reste. »
Ce qu’on retient de son parcours : l’équilibre, ça se construit pas à pas — et souvent, avec un·e proprio qui croit en toi.
Et toi, qu’est-ce que tu ferais différemment si c’était à refaire?
Écris-nous, ton histoire pourrait inspirer la prochaine génération.